En guerre…

Le président Macron a déclaré que nous étions en guerre contre les virus d’origine étrangère.

En quoi est-ce vrai ?

On entend parler de restaurants clandestins, comme on trouvait des restaurants servant des denrées du marché noir à des prix très élevés et sans besoin de tickets de rationnement. Evidemment, cela concerne des personnes très riches, avec des menus allant de 400 à 2 000 euros. Peu de monde peut dîner à 2 000 euros le menu…

On constate des queues devant des magasins demeurant ouverts comme les boulangeries. Ces queues peuvent parfois être très longues.

On parle de “couvre-feu” les soirs : les obligations de respect d’horaires où ne pas sortir, correspond à ceux qu’interdisaient les occupants.

–Comme il y avait des “ausweis”, nous avons des attestations  pour permettre d’outrepasser légalement ces interdits

La distinction entre commerces à denrées essentielles ou non essentielles. Cela n’existait pas pendant la guerre, sauf un rationnement provenant que les allemands se gardaient le meilleur et en bon nombre, pour eux

La notion de “zones interdites”. Actuellement, c’est plus par une notion de distance depuis son domicile que des endroits deviennent interdits, mais l’idée est la même, on  ne peut aller n’importe où…

On demande de limiter le nombre de personnes en groupe à 6 personnes. En intérieur aucun contrôle possible, mais en extérieur, sanction nable.

Les dénonciations de voisins ne respectant pas les consignes, rappelant les pires moments de l’Occupation de 1940 à 1944.

Bien sûr, pour moi qui explique la seconde guerre mondiale aux classes de 3° de  collèges, je n’oublie pas les énormes différences comme celle des lois raciales, des déportations, des luttes contre les maquis et la Résistance, qui sont loin de ce que nous vivons, même si certains refusant les contraintes légales actuelles, se prennent pour des résistants par respect de leur liberté…

–Mais une ambiance lourde rappelle ce que les gens ont vécu pendant la guerre.

On peut ajouter les chaînes de télé d’information permanente qui matraquent nos cerveaux avec les vaccins, les lits de réa, les morts, le respect des gestes de protection

J’allais oublier les écoles fermées. Cela est arrivé en guerre, mais au début et au moment de la Libération.

  • On mobilise aussi les services de santé de Armées tant pour transporter des malades que pour faire des vaccins en en nombre
  • L’attente de la Libération, c’est celle de la fin des virus, ennemi notoire, intelligent, vicieux, caché un peu partout, masqué  comme un espion  ..
  • Tout cela pour dire que l’on peut comprendre les dépressions, y compris celles d’enfants. Il devait déjà, en avoir pendant la guerre…

 

              Dominique BAGUET

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